"Le roman noir, parce que c'est la crise, se joue dans un état d'urgence. Il parle du monde maintenant. Et le monde va vite. Tant pis si nous sommes fatigués." Jean-François Vilar
I've seen sunny days that I thought would never end
I've seen lonely times when I could not find a friend
But I always thought that I’d see you again
"Les lumières et l’eau. Le feu et la pluie. Pourquoi cette association
obsédante ? Le souvenir confus d’un rêve récurrent ? Ou une vague
métaphore des journées qu’il venait de vivre ?
Ces meurtres et le châtiment infligé par d’autres meurtriers, comme la
patte et la dent inexorables du destin, fauve brutal et impitoyable des
vieilles tragédies.
Le Bien et le mal.
Il lui revenait, maintenant, de manière lancinante, la conversation avec le jeune gars de Siblas[1].
Le Bien et le Mal. Le feu et la pluie, le feu qui détruit et efface les traces du forfait, la pluie qui arrête le feu. Ou la flamme qui éclaire et purifie et l’eau où l’on noie , où l’on fait disparaître les corps et les preuves.
Partout et en toutes choses, dans chacun de nos actes."
Voir Sudarenes Editions
http://www.sudarenes.com/ecrivains_som.htm
ISBN : 978-2-918413-76-9 Prix : 18 €
A commander sur le site de SUDARENES ou à U Culture sur
HyperU de Saint-Maximin, à Charlemagne et aux Espaces Culturels Leclerc du Luc et de Cogolin.